« Ce qui se passe dans le monde me paraît plus dramatique, plus fort que le tableau qui pourrait sembler peut-être un peu vain […] mais c’est là ma façon d’être peintre et c’est la seule […]. Je peins tous les jours et pourtant je me demande si je ne pense pas autant à la vie et aux conditions de vie des individus qu’à la peinture. Je crois que les deux obsessions, obsession de la peinture et obsession de l’histoire contemporaine, se chevauchent chez moi totalement ».
Paul Rebeyrolle, 1984
Paul Rebeyrolle, atelier de Boudreville, juillet 1993.
© Gérard Rondeau