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La collection permanente
Le nouvel accrochage
jusqu'au 31 mai 2025
L'exposition
Cette année, le nouvel accrochage met la lumière sur des séries dites « politiques », celle des années 70 avec « Coexistences » dont le puissant Nu aux morceaux de bois mis en dépôt par le Centre Pompidou, soutenu ensuite par « Les Panthéons » (1990-91) avec notamment le grand tableau prêté par le Mobilier national, mais aussi « Splendeur de la vérité » (1992-94) ou encore « Le Monétarisme » (1997-99).
Puis, deux grandes salles où se dévoile « le repos du monde tel qu’il va. La vie possible. » Rebeyrolle semble faire une trêve au milieu de ses combats. Alors nous sommes envahis par la lumière du vent de quelques « Bacchus » (1997-98) et les couleurs éclatantes de « Madagascar » (2000). Un peu d’eau s’écoule juste à côté, ce sont Les Grands Paysages de 1978.
"Les nourritures terrestres de Paul Rebeyrolle"
par Jean-Baptiste Para
[…]
Tout cela vit dans un fourbi bien charpenté, car la peinture, dit Rebeyrolle, est « une organisation qui doit rendre compte du désordre », du surgissement des choses, du remous des matières.